Comment devenir directeur sportif ?

Il se caractérise par son haut niveau de connaissances dans de multiples domaines : gestion, ressources humaines, stratégies de développement ou même communication. Qui est le directeur sportif et comment se former pour faire carrière à son tour ?

Pourquoi devenir directeur sportif ?

Le directeur sportif est reconnu être un encadrant dans le sport qui présente un profil transdisciplinaire et très complet. En pratique, c’est lui qui dirige un club ou une association sportive, quelle que soit sa discipline associée. Il en assure le bon fonctionnement général : administration du personnel, organisation des plannings, financements, etc.

Devenir directeur sportif, c’est donc souhaiter exercer un emploi à responsabilité dans le domaine du sport tout en s’inscrivant dans des disciplines très actuelles, comme le droit des contrats international, la négociation commerciale ou même l’utilisation d’Internet. Il s’agit d’un métier qui requiert d’allier innovation, relations publiques, gestion du personnel et passion du sport.

Très rapidement, le directeur sportif bénéficie d’une rétribution à hauteur de son niveau de compétences professionnelles. S’il commence sa carrière aux alentours de 30 000 euros annuels, ce chiffre est susceptible d’augmenter considérablement et très rapidement pour parfois atteindre des niveaux record selon les structures (on parle de 250 000 euros mensuels pour le célèbre Leonardo Nascimento de Araujo, directeur sportif du PSG).

Le directeur sportif : développer des compétences pluridisciplinaires

En vue de relever toutes ces missions cruciales au bon développement de sa structure, le directeur sportif présente un profil atypique. Très éclectique, c’est un cadre qui sait prendre de hautes responsabilités et qui maîtrise de très nombreuses disciplines : e-commerce et digital, marketing sportif, merchandising, gestion administrative et financière et ressources humaines notamment.

Au cours de ses journées de travail, le directeur sportif est amené à prendre en charge des missions très variées, comme l’encadrement des équipes, le recrutement, la gestion des transferts des athlètes, la négociation de partenariats, la mise en place de campagnes médiatiques, etc. C’est donc lui qui garantit le succès de son club en intervenant aussi bien sur le terrain et au contact des athlètes qu’en retrait, dans des tâches administratives et gestionnaires. Créateur de lien, c’est sur lui que repose la bonne communication entre les entraîneurs, les joueurs, les dirigeants et les équipes médicales.

Pourquoi suivre une formation en management et business du sport pour devenir directeur sportif ?

Les mastères spécialisés en Management et Business du Sport proposés au sein des écoles spécialisées sont les formations les mieux à même de fournir toutes les compétences transdisciplinaires nécessaires pour devenir directeur sportif.

Ces établissements privilégient un apprentissage pratique, basé sur l’entraînement en conditions réelles, l’échange entre professionnels et l’acquisition de connaissances opérationnelles permettant de véritablement maîtriser le métier. À ce titre, une bonne formation en management du sport doit comprendre dans son programme pédagogique :

– L’anglais des affaires.

– La gestion, le droit des contrats, le management.

– La maîtrise des outils PAO et des principes de la communication visuelle.

– L’événementiel sportif, l’organisation d’événement.

– Le merchandising, le développement d’un point de vente ou d’une organisation sportive ou l’utilisation du e-commerce.

– Le sponsoring sportif, etc.

Le PGE Management et Business du sport de PPA SPORT permet de développer toutes les compétences transversales nécessaires pour devenir directeur sportif en proposant de nombreux stages en alternance au sein des plus prestigieuses structures du secteur.

Le directeur sportif, c’est la tête pensante d’une structure. Grâce à ses nombreuses connaissances, c’est lui qui insuffle toute son énergie au club dont il a la charge, l’oriente stratégiquement dans la bonne direction et recrute judicieusement les membres qui le composent.

Peut-on travailler dans le secteur du sport…. sans faire de sport ?

Exercer dans le sport sans pratiquer une activité physique semble paradoxal, voire impossible. Après tout, même les athlètes de e-sport pratiquent activement leur discipline. Alors, est-il possible de travailler dans le secteur sportif sans faire de sport et, si oui, comment ?

L’organisation, le marketing et la communication : la solution pour travailler dans le sport sans faire de sport

Quand on pense à travailler dans le secteur du sport, on imagine rapidement qu’à part une carrière d’athlète de (très) haut niveau, aucun autre emploi n’existe. Ou peut-être entraîneur, après une brillante carrière … d’athlète sportif.

Si cette idée a été vraie pendant de très nombreuses années, elle tend à s’estomper face à la professionnalisation du monde du sport, qui a entraîné l’émergence de nouveaux emplois dans la communication et l’organisation.

On peut donc travailler dans le sport sans pratiquer : c’est le cas des organisateurs d’événement, des attachés de presse, des journalistes sportifs ou des directeurs de stade. On peut donc travailler dans le sport comme responsable du marketing et proposer à la fois des campagnes de communication innovantes et des activités promotionnelles dans la tendance du moment : flash mob, sites internet dédiés, etc.

Ces professionnels n’en demeurent pas moins de véritables experts de l’univers du sport : culture sportive, connaissance des grands athlètes, des acteurs internationaux majeurs, etc.

Travailler dans le sport sans faire de sport : choisir le sport business

Les métiers du sport business sont d’excellentes niches afin de travailler dans le sport sans pratiquer au quotidien. Ces emplois regroupent les métiers de la filière du management du sport, qui consiste en un ensemble de méthodes et de techniques pratiques visant à développer et à optimiser les activités des entreprises du secteur sport.

Plus concrètement, il s’agit des business développeurs, des analystes spécialisés dans le sport, des brand managers ou encore des responsables stratégiques qui travaillent au sein d’une entreprise du secteur sport. Ces cadres supérieurs connaissent en effet tout du monde sportif : histoire, grandes entreprises, leviers de développement, contraintes économiques, impact politique, etc. Ils évoluent au contact des athlètes, des infrastructures sportives et parfois même des adeptes et cherchent à développer des solutions et des orientations propres à satisfaire les attentes du public.

Enfin, il faut penser les emplois de la Tech si l’on veut travailler dans le sport sans faire de sport. Ces métiers regroupent les filières du développement informatique et de la création d’application sportive : suivi de performances, paris en ligne, réseaux sociaux spécialisés, etc.

Avec PPA SPORT, les étudiants qui souhaitent travailler dans le sport sans faire de sport trouvent un emploi à l’issue de leurs études en management, marketing et business du sport. Grâce à l’apprentissage en alternance, ils explorent de nombreux métiers et l’ensemble des filières du secteur.

Travailler dans le sport sans faire du sport, c’est possible. On peut également penser aux influenceurs sportifs, qui n’ont pas toujours besoin de pratiquer pour créer leurs vidéos.

Travailler dans le secteur sportif en apprentissage : ce qu’il faut savoir

Travailler dans le sport est une décision judicieuse, à condition de bénéficier des bonnes modalités d’apprentissage. Pourquoi l’alternance et la pédagogie pratique sont-elles devenues incontournables pour faire carrière dans le milieu ?

Travailler en apprentissage dans le sport : apprendre et se former

L’apprentissage est une excellente modalité pédagogique, très valorisée dans l’univers du sport en raison de ses résultats spectaculaires. L’alternance, qui est une manière de concrétiser son apprentissage, permet en effet de convertir des connaissances théoriques en véritables compétences opérationnelles.

Dans le sport, tout est affaire de pratique, et ce, même en ce qui concerne les métiers de l’encadrement et du management. Par exemple, il est crucial qu’un chef de produit ait bénéficié d’une véritable expérience sur le terrain, qu’il connaisse les dynamiques et les contraintes auxquelles sont soumises ses équipes en magasin ou qu’il ait pu visiter régulièrement les stocks qui seront plus tard à sa charge. Par l’apprentissage en alternance, les étudiants qui se destinent à une carrière dans le sport peuvent ainsi véritablement apprendre des experts du secteur et connaître leur futur univers d’exercice.

Aborder le secteur sportif par l’apprentissage

Le milieu du sport professionnel peut être difficile d’accès à un non-initié, notamment en ce qui concerne les postes à responsabilité. Les missions que concernent les emplois de directeur de projet, manager de stade ou encore chargé événementiel dans le secteur sportif expliquent que les entreprises du domaine tendent à ne faire confiance qu’à peu de candidats à l’emploi.

Pour aborder le secteur du sport et y travailler, l’apprentissage est donc un moyen de se constituer un carnet de contacts professionnels actifs et de confiance. Ce carnet d’adresses s’avère souvent capital pour véritablement trouver un emploi. Sachez également que le sport professionnel est un domaine qui favorise considérablement la promotion interne : les grandes structures du secteur apprécient de former elles-mêmes leurs collaborateurs (surtout au plus haut niveau). Elles leur apprennent leur manière de travailler et leurs valeurs et il n’est pas rare de voir un contrat d’apprentissage déboucher sur un CDD.

Notons par ailleurs que l’apprentissage est une modalité qui permet d’obtenir un salaire. Cette rétribution est bienvenue afin de suivre un cursus universitaire de haut niveau et sur le long-terme en vue de développer toutes les compétences nécessaires pour travailler dans le sport.

L’apprentissage dans le sport : la clé pour travailler ?

Pour travailler dans le sport, il semble donc que la voie de l’apprentissage soit à favoriser dans le but de s’assurer de véritablement trouver un emploi à l’issue de ses études, notamment dans les filières du marketing sportif, du management ou de la stratégie.

Pour parvenir à travailler dans le secteur sportif en apprentissage, il faut s’inscrire à une formation universitaire dans le sport. Les établissements spécialisés en business du sport, par exemple, ouvrent ces cursus de choix aux étudiants détenteurs d’un baccalauréat et les accompagnent jusqu’à l’obtention d’un diplôme de mastère. Les participants à ces formations disposent donc de cinq ans pour travailler en apprentissage dans le sport avant de se lancer et d’obtenir un emploi dans le domaine.

Le PGE de PPA SPORT en Management et Business du Sport bénéficie de l’excellence de la pédagogie de l’établissement et de la reconnaissance des recruteurs du secteur. C’est une excellente option pour travailler en apprentissage dans le sport et faire carrière dans le domaine sportif.

Travailler en apprentissage dans le sport, c’est la clé de l’insertion professionnelle dans le secteur et un excellent moyen de parfaire son profil de compétences.

Panorama des métiers dans le secteur du sport

Le secteur du sport est bien plus riche en diversité d’emplois qu’il n’y paraît. Dans le domaine, on peut exercer comme athlète, entraîneur, manager de salle, coach ou encore directeur de la communication. L’essor du e-sport a également ouvert la voie à de très nombreux emplois dans la pratique, l’encadrement et le numérique. Zoom sur les principaux métiers du secteur du sport.

Sport : pratiquer est un métier

Dans le sport, le métier le plus connu est bien évidemment celui d’athlète. Avec la professionnalisation du secteur, les sportifs bénéficient désormais d’un environnement d’entraînement ultra-optimisé, propre à leur assurer les meilleures performances.

Entourés d’une solide équipe d’entraîneurs, de coachs, de masseurs ou de remplaçants, les athlètes professionnels officient dans toutes les disciplines sportives : Aveyron, football, golf, mais aussi l’e-sport.

Pour celles et ceux qui désirent exercer un métier qui englobe pratique sportive et activités diversifiées, l’enseignement est un corps de métier très actif dans le sport. On peut donc travailler comme professeur d’EPS, animateur de structure sportive ou coach spécialisé.

Sport : les métiers de l’organisation

Le monde du sport, son dynamisme et sa variété culturelle ont besoin de s’appuyer sur le travail de nombreux métiers de l’encadrement et de l’organisation. À tous les niveaux, les rencontres sportives nécessitent que travaillent les chefs de stades, les directeurs événementiels ou encore les attachés de presse et les responsables de promotion.

En partenariats avec d’autres métiers du sport, ils permettent à tous les événements d’avoir lieu. À ce titre, font partie des métiers du sport les revendeurs de billets spécialisés. Les journalistes sportifs, les chroniqueurs spécialisés ou les chargés de communication assurent également un rôle clé dans la transmission des informations et la promotion des événements.

Quels sont les métiers du management du sport ?

Le sport se professionnalise, c’est un fait. De ce nouveau développement ont émergé des professions inédites dans l’univers du management et de la direction d’entreprise. Dans le business du sport travaillent donc les business developers, les responsables de partenariat, les brand manager sportifs ou les responsables digital spécialisés dans le sport.

Ces métiers, récents, ont pour objectif de contribuer à l’essor des structures sportives, en déterminant leurs leviers de développement et en leur fournissant des orientations stratégiques viables.

Plus généralement, les métiers de merchandiser spécialisé dans le sport, de responsable marketing pour une structure sportive ou de chargé de production rejoignent également l’univers des emplois de l’encadrement sportif et du management du sport.

PPA SPORT propose à ses étudiants un PGE de très haut niveau académique, technique et sportif qui débouche sur un grand nombre de métiers récents et plus traditionnels du monde du sport. Forts de leur apprentissage en alternance, les étudiants sortants de l’établissement trouvent rapidement un emploi à l’issue de leur cursus.

Les métiers du sport évoluent quotidiennement, désormais, il faut également compter sur la filière des nouvelles technologies : directeur de startup de paris en ligne, développeur d’application de suivi de performances, etc.

L’histoire du sport : l’essentiel à connaître

L’histoire du sport est intimement liée à celle des avancées technologiques et de l’évolution des mœurs. Et c’est sous ces angles que nous allons aborder son évolution : le sport, le divertissement, la place des femmes et des combats éthiques et enfin, la professionnalisation du secteur.

Sport et divertissement : l’histoire de l’antiquité et du Moyen Âge

Dans l’antiquité et au Moyen Âge, le sport était un divertissement de premier ordre. Jeux du cirque, construction d’arènes ou courses de chars ponctuaient la vie civile. L’organisation de joutes ou de tournois servait également à mettre en avant les réussites des Rois de France (bataille gagnée, mariage, naissance des héritiers, etc.).

C’est au siècle des Lumières que la pratique sportive sort du simple affrontement et de la mise en avant de la force des dirigeants pour aller vers la culture humaniste. Rabelais, notamment, souligne les bienfaits du sport comme manière de développer ses compétences sociales et empathiques.

L’histoire du sport féminin

Les femmes ont toujours pratiqué le sport. Dans les cités grecques antiques, par exemple, si les sports mixtes étaient interdits, les femmes bénéficiaient de leurs propres olympiades. Avec l’évolution des mœurs et de l’instauration des sociétés modernes, leur présence sur la scène sportive s’est considérablement réduite.

Évincées, les femmes reviennent lentement au sport dans les années 1800, notamment dans les disciplines comme l’escrime, la gymnastique ou l’alpinisme. Notons que seulement 6 femmes participent aux Jeux olympiques de Paris en 1900 (en tennis et en golf uniquement). En 1918, Alice Maillat va parvenir à fonder la Fédération des Sociétés Féminines Sportives de France et à œuvrer à la diversification du nombre de disciplines ouvertes aux femmes.

Sport et combats éthiques : une histoire sociétale

L’univers du sport, et les Jeux olympiques, notamment, ont toujours été utilisés pour porter à la médiatisation des questionnements éthiques et humains. C’est notamment le cas des JO de Mexico, en 1968, pendant lesquels les droits civiques et leur respect ont été mis sur le devant de la scène, suite à l’assassinat du militant Martin Luther-King.

Au fil de l’histoire et de la croissante médiatisation du sport, les rencontres sportives ont été l’occasion de porter à la connaissance de tous les injustices et les combats humains. Courir contre le cancer est un exemple très actuel : le sport est utilisé pour mettre en avant un problème de santé croissant et permet de véritablement développer l’empathie du public.

Sport et professionnalisation : une histoire pas si récente

On entend souvent dire que le sport connaît une récente professionnalisation. Or, c’est dès le XIXe siècle en Angleterre que les sportifs commencent à être perçus (et rémunérés) comme des professionnels. À cette époque, les paris sportifs pullulent dans le monde de la boxe et Jem Driscoll par exemple (boxeur professionnel) gagne près de 10 000 dollars pour se rendre à ses compétitions.

Début 1900, la naissance des ligues et des fédérations sportives américaines va permettre un net pas en avant quant à la financiarisation du secteur. Jusqu’en 1981, année où le comité international des Jeux olympiques accepte le principe de la professionnalisation.

L’histoire du sport, très lié aux développements humanitaires et économiques des sociétés du monde, s’étudie à l’occasion de cursus universitaires spécialisés. Par exemple, le programme Management du Sport de PPA SPORT, permet de se constituer une solide culture générale sportive, très utile pour appréhender les leviers de développement du secteur sport d’aujourd’hui.

Il est également possible d’appréhender l’histoire du sport au regard des évolutions technologiques : meilleurs équipements, suivi des performances des athlètes, etc.

Se réorienter après une formation STAPS

La licence STAPS associe pratique sportive, connaissance des institutions, enseignement scientifique et formation professionnelle. Néanmoins, de nombreux étudiants titulaires du diplôme préfèrent se réorienter : quelle filière choisissent-ils et pourquoi ?

Est-il possible de se réorienter après une licence STAPS ?

Dans le système universitaire européen, il est désormais possible de se réorienter dans la filière de son choix, même après une licence STAPS. En effet, ce diplôme permet à l’étudiant titulaire de remporter 180 crédits ECTS. Ces crédits lui seront ensuite utiles pour intégrer une autre formation de son choix : Mastère, MBA, DUT ou encore une licence dans une filière différente.

Ainsi, il n’est pas rare de voir d’anciens étudiants de STAPS reprendre en deuxième année de licence d’organisation événementielle ou dans la filière du médico-social. D’autres choisissent de se réorienter au profit de cursus plus techniques et professionnalisants, à l’instar des formations de type Bachelor, divulguée par les établissements spécialisés.

Dans la filière du sport, les Bachelors Business du sport sont très recherchés des étudiants souhaitant se réorienter après leur licence STAPS. Selon les établissements, l’admission à un cursus Bachelor peu s’effectuer immédiatement après le baccalauréat (et en première année du cycle) ou directement en 2^e ou 3^e année, comme, par exemple, après obtention d’une licence STAPS.

STAPS : se réorienter dans le management

Les étudiants qui ont obtenu l’intégralité de leurs crédits de licence STAPS peuvent également se réorienter dans le management du sport. C’est une filière d’avenir, très attractive pour les étudiants passionnés de sport qui cherchent à intégrer un poste à responsabilité.

Le management du sport fait partie du business du sport, qui suit les évolutions des marchés internationaux et qui regroupe de nombreuses disciplines pratiques : marketing, communication, organisation événementielle, administration des organisations sportives, etc. L’étude du management du sport permet alors à un titulaire d’une licence STAPS de se réorienter vers des compétences plus pratiques : stratégie de développement des entreprises et structures du secteur, mise en place de contrats de partenariats ou de campagnes marketing, etc.

Très concrète, la spécialité du management et du sport business permet d’opter pour une réorientation productive après une licence STAPS, puisqu’elle offre d’intégrer des postes comme match manager, business development manager ou chargé de production et d’intégrer un secteur dynamique et concurrentiel.

Enfin, un étudiant titulaire d’une licence STAPS qui souhaite se réorienter dans le business du sport peut également parfaire sa formation en suivant un MBA spécialisé. Sur un cycle de deux années, il suivra alors un enseignement très technique et axé sur des connaissances de niche.

Forts de leur diplôme STAPS, ils peuvent intégrer directement une formation de type Mastère ou MBA spécialisé au sein des établissements du management du sport. Par exemple, le titulaire d’une licence STAPS pourra intégrer le cycle Mastère Management du Sport de PPA SPORT directement en première année, sans avoir besoin de suivre le PGE complet de l’établissement. Il ne perdra donc pas de temps sur son cursus universitaire et pourra très rapidement bénéficier d’un enseignement plus technique et professionnalisant.

Se réorienter après une licence STAPS sans perdre de temps sur son parcours universitaire, c’est possible en choisissant des formations professionnalisantes au sein des établissements spécialisés dans le management et le business du sport.

Où et comment postuler dans le sport ?

Comment aborder le milieu du sport business pour candidater avec succès au sein d’une structure dynamique et pour un poste attractif ? Quels sont les principaux conseils à suivre pour comprendre où postuler, comment faire et par quoi commencer ?

Les options pour postuler dans le sport

Après une formation solide et afin de travailler au sein du sport professionnel, il est possible de postuler aux emplois qui paraissent dans les petites annonces ou sur les sites spécialisés : HelloWork, Indeed, Pôle emploi ou encore LinkedIn. Certaines plateformes s’expertisent actuellement afin de mettre en lien les candidats et les recruteurs du sport business.

Pour parvenir à décrocher un emploi dans le sport de cette manière, il faut justifier d’une excellente préparation universitaire, démontrer de compétences concrètes et afficher un CV esthétique, structuré, optimisé et attractif.

Il est également envisageable de démarcher directement les structures, en se rendant dans les locaux d’un club ou dans les bureaux des entreprises du sport business. Là encore, mieux vaut être prêt, sur le plan relationnel et universitaire.

Pour postuler dans le sport de manière spontanée, il convient d’adopter un savoir-être professionnel d’exception. Ne négligez pas votre posture, un bon maintien en dit long sur votre profil, notamment dans le domaine sportif où il est important de rester tonique et dynamique. Si une tenue décontractée peut être acceptable pour un démarchage au sein d’une salle de sport, il est préférable d’adopter une apparence plus stricte en cas de recherche d’un emploi de cadre à responsabilité. Il est également préconisé de bien connaître la structure (surtout en cas d’entretien) : histoire, grands événements, « coups » de sponsoring ou encore meilleures ventes.

D’autres canaux existent pour postuler dans le sport : concours de la fonction publique, contrat d’alternance qui débouche sur un contrat en CDD, création d’une start-up dans le sport business, etc.

Postuler dans le sport : se faire accompagner

Il est important de postuler dans le sport en évitant les erreurs et en se faisant aider des experts du recrutement dans le milieu. Le secteur est en effet difficile d’accès, il requiert de justifier de solides compétences techniques et d’une bonne expérience professionnelle.

C’est pour ces raisons que les responsables du monde du sport ont majoritairement suivi une formation universitaire technique et professionnalisante. Leur cursus leur a permis de développer des connaissances opérationnelles leur offrant d’immédiatement prendre en charge des missions pratiques. Ils ont également profité de leur parcours universitaire pour se constituer un réseau de connaissances professionnelles qui ont su les accompagner lorsqu’ils ont choisi de postuler.

PPA SPORT propose des formations premium en Management et Business du Sport. Les étudiants de l’école bénéficient de l’accompagnement des équipes de l’établissement lorsqu’ils intègrent un stage en alternance et/ou qu’ils cherchent à postuler sur le marché de l’emploi. Ils peuvent également s’appuyer sur le réseau d’alumni de l’école et réussir ainsi leur insertion professionnelle dans le secteur.

Postuler dans le sport ne peut se faire sans une bonne formation spécialisée dans la filière du Management du Sport ou du Sport Business.

Crédit photo @Unsplash_Aaron_Burden

Le concours ENGRAINAGES fait son grand retour pour une 11ème édition !

Plus attendu que la finale de la Coupe du Monde de Football au Qatar, le concours ENGRAINAGES fait son grand retour pour sa 11^ème édition. Ce concours destiné aux futurs entrepreneurs récompensera les idées les plus créatives et proposera un accompagnement pour les projets les plus plébiscités.

Le monde du sport est un secteur en constante évolution avec de nouvelles tendances et une digitalisation du secteur. Pour faire face à ces évolutions régulières, de nombreuses start-ups ont vu le jour comme Stadium GO, la plateforme de covoiturage pour vivre le sport entre passionnés ou encore Digifood, un écosystème complet conçu pour les restaurateurs afin d’améliorer l’expérience spectateur en termes de food & beverage dans les stades.

Notre envie est de pousser nos étudiants qui le souhaitent à s’investir dans un projet entrepreneurial mais surtout que nous puissions les accompagner dans leur projet et leur réflexion. C’est en ce sens qu’a été créé le concours ENGRAINAGES soutenu par le Réseau GES dans toute la France. Pour sa 11^ème édition, la grande finale se déroulera à Station F, projet majeur dans l’écosystème start-up en France puisqu’il représente le plus gros campus de start-up au monde.

Il s’agit d’un concours de création d’entreprises ouvert pour les étudiants de 3^ème, 4^ème et 5^ème années ainsi qu’aux jeunes diplômés des trois dernières promotions. L’objectif est de pouvoir accompagner et récompenser les étudiants porteurs de projet dans la création de leur entreprise en leur permettant l’accélération de la réalisation de leur projet.

Son déroulé original se déroule sur 5 mois, ce qui en fait un programme d’accélération. Les sélections successives sont articulées autour de 6 temps forts.

Ce concours permet aux participants de passer de l’idée au projet, développer leur visibilité auprès d’un public d’experts tout en étoffant leur carnet d’adresses , de gagner en confiance et pour les gagnants de recevoir des dotations, qu’elles soient financières, matérielles ou par du mécénat de compétences.

Parcequ’il faut oser pour entreprendre, nous invitons tous les étudiants PPA SPORT à se lancer dans le grand bain, et qui sait, devenir LA start-up qui fera les beaux jours du sport d’aujourd’hui et de demain.

Les inscriptions sont ouvertes depuis le 1^er décembre, pour vous inscrire rendez-vous directement sur https://engrainages.com/

Quelles sont les 5 meilleures activations de partenariat dans le sport ?

L’activation de sponsoring sportif est une méthode permettant à une entreprise de promouvoir son image de marque associant son nom à une compétition sportive, à la carrière d’un athlète ou au développement d’un club. L’entreprise, ainsi devenue sponsor, valorise sa présence au moyen de supports publicitaires à son effigie, de vêtements de sa fabrication, etc. Quels sont les 5 meilleurs partenariats sportifs incontournables à connaître dans le du sport business ?

Nike : le mastodonte du sponsoring sportif

Marque de vêtements, de chaussures et d’accessoires de sport, l’entreprise Nike a depuis toujours eu recours aux activations de partenariats. La marque sponsorise un très grand nombre d’événements et d’athlètes. Forte de sa connaissance du sport business, elle maîtrise parfaitement les enjeux et les subtilités du partenariat sportif. Par exemple, en août 2018, elle défend son athlète vedette, Serena Williams, attaquée en raison d’une combinaison en lycra jugée trop moulante en ces mots : « Vous pouvez retirer son costume à un super-héros, mais vous ne pourrez jamais lui retirer ses super-pouvoirs ». Une excellente opération de partenariat, qui est venue soutenir l’athlète tout en redorant l’image de la marque.

Coca-Cola, des JO et une compagne réussie

En s’associant aux JO de 2016 à Rio, Coca-Coca lançait sa campagne #ThatsGood. L’opération touche près de 50 pays et met en avant la fierté conjointe des athlètes et des adeptes du sport dans leurs exploits quotidiens. La marque affiche alors son nom et son logo sur tous les supports de communication de l’événement, mais va plus loin en adaptant son packaging avec des éditions limitées aux couleurs des JO. A suivit une production de contenus web adaptés à l’occasion et qui ont fait participer plus d’une centaine d’influenceurs de tout bord. Ce faisant, le géant américain a considérablement augmenté la viralité de sa campagne et s’est savamment positionné sur la scène du sport business et du digital.

Betclic et le sport online

Betclic, la plateforme (et l’application) de paris en ligne a su s’imposer sur la scène du partenariat sportif. Elle signe ainsi des contrats avec les plus grandes structures du monde du sport : la FFF, Le Top 14, La coupe de France, etc. Le bookmaker a également édité de très célèbres maillots floqués à son effigie, portés par ses poulainsGignac et Valbuena. Implantée dans la région de Bordeaux, la marque sponsorise majoritairement des structures sportives locales (c’est le cas du Top 14 de Rugby) et adopte une stratégie tentaculaire de sponsoring.

Musique, football et Barça

Le FC Barcelone fait partie des exceptions du sport business : le club est resté jusqu’au début des années 2000 un des derniers à arborer un maillot vierge de tout sponsor. Les débuts de la décennie et les difficultés financières contraignent la direction à s’associer à l’UNICEF puis, en 2011, à la Qatar Foundation. Désormais, c’est Spotify qui rafle l’emplacement tant convoité et fait entrer le sponsoring sportif dans une « nouvelle ère » selon les experts. Un monde au sein duquel les activations de partenariat seront dominées par les acteurs de l’économie numérique.

2022 : un nouveau sponsor pour le Super Bowl

Plus qu’un événement sportif, c’est un mythe auquel s’associe pour la première fois Appel Music, qui sponsorisera le spectacle de la mi-temps de la compétition (en 2023). Le géant de la Silicon Valley fait suite au grand Pepsi, qui avait décroché la place tant convoitée à l’édition précédente. Les conditions financières de ce contrat choc n’ont pas été divulguées, mais le spectacle de mi-temps de la plus grande rencontre sportive des Etats-Unis est devenu une vitrine colossale pour l’entreprise partenaire, une nouvelle fois tête de file du secteur numérique.

PPA SPORT propose un Mastère Management Sportif et Sport Business qui comprend tous les fondamentaux de l’activation de partenariats sportifs. Les étudiants sortants sont en mesure de déterminer les meilleures occasions de conclure les plus grands contrats du secteur sportif de demain.

Les partenariats sportifs sont des occasions professionnelles qu’il faut savoir manier et bien mettre en place en raison de leurs colossaux enjeux sur le plan des finances et de la réputation des deux parties.

Crédit photo – @Unsplash @patrick_robert_doyle

Les NFT dans le sport, késaco ?

Vignettes numériques à l’effigie des grands joueurs, vidéos uniques des meilleurs tirs de basket, figurines à collectionner, maillots de clubs en version digitale à collecter : retour sur le phénomène des NFT dans le sport.

Le concept du NFT dans le sport

Avant de se pencher sur la question des NFT dans le sport, il est important de revenir sur la notion nouvelle et très actuelle du Non Fongible Token : il s’agit d’un objet dématérialisé qui n’est pas interchangeable qui s’acquiert en ligne. Reconnu par un certificat d’authenticité comme unique et original, le NFT s’échange sur la Toile et les transactions qui le concerne sont toutes enregistrées et protégées par la technologie de la blockchain.

Plus concrètement, un NFT permet de rendre un fichier, une œuvre ou une photographie numérique unique et de garantir à l’artiste ses droits de propriété sur l’œuvre. Récemment, les NFT ont conquis le monde du digital, d’abord avec le marché de l’art, la mode et les jeux vidéo.

Ils font aujourd’hui une entrée remarquée dans le secteur sportif et suscitent l’intérêt croissant des clubs, des athlètes et des fans. Le sport professionnel avait déjà, il y a quelques années, investi avec succès la sphère digitale : réseaux sociaux et comptes d’athlètes connus au niveau mondial, événements en ligne (essor, reconnaissance et adoption du e-sport), etc.

NFT et sport : des débuts très récents

Début 2020, on a vu les plus grands clubs (de football notamment) se lancer dans la technologie des NFT : Juventus, Paris Saint-Germain ou encore l’Atlético de Madrid. Ces grandes structures du sport se sont associées à une application utilisant la technologie de la blockchain afin de valoriser et de revisiter la relation fan / club de football.

Grâce à cette app, les clubs ont créé leur propre monnaie virtuelle et récompensé les propriétaires de NFT (jetons eux-mêmes générés par le club). Après cette première incursion dans le monde de la blockchain et de la cryptomonnaie, le monde du sport a pleinement adopté le principe du NFT

NFT du sport : des exemples concrets

Les NFT intéressent considérablement les experts du sport business, en ce qu’ils sont générateurs de rareté et donc de valeur. Les grandes structures du secteur s’emparent de la technologie pour créer des collections qui s’arrachent sur les marchés internationaux virtuels.

La NBA, notamment, s’est associée à la société propriétaire de la blockchain Dapper Labs. Ensemble, ils ont imaginé un marché online où les internautes peuvent acquérir des vidéos inédites de matchs. Les contenus, en édition limitée, ont déjà apporté quelque 500 millions de dollars de chiffre d’affaires (la plateforme a été lancée en 2020, seulement).

Un exemple incontournable de l’adoption des NFT par le monde du sport et qui illustre parfaitement le concept auprès de toutes les générations : c’est la digitalisation de l’album Panini, comme en parlent les professionnels du sport business. En 1961, Panini lançait ses collections de vignettes de football à acheter, échanger ou conserver.

Sorare, propose aujourd’hui une fantasy league, sous forme de NFT : on peut acheter, vendre et échanger des cartes dématérialisées à l’effigie des joueurs de football. La blockchain Ethereum (mastodonte du secteur) garantit l’authenticité de chaque carte. La plateforme est investie de tous les grands clubs actuels. En effet, elle constitue une source de revenus financiers supplémentaires pour les structures du monde du sport : les clubs bénéficient de royalties à chaque mise aux enchères d’une carte d’une de leur joueur (entre 5 et 15 % du prix de vente).

Avec PPA SPORT, les futurs responsables du sport business suivent un enseignement de haut niveau technique et académique. Ils apprennent à déterminer les futurs leviers de développement du secteur, dont les NFT, qui apparaissent comme un outil incontournable.

Les NFT dans le monde du sport sont un excellent moyen de créer un lien unique entre les adeptes et leurs athlètes préférés, l’histoire de leur club ou des événements exceptionnels.

Crédit photo – @unsplash @andrey_metelev